cire69 a écrit :cypl a écrit :Je n'ose plus regarder ce fil de peur de tomber sur un SPOILER. Ne deconnez pas!
Le premier qui spoil on le met à poil !
Pour respecter l'anagrame: à poils!
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Vinnie a écrit :Y t'il une saison 2 de prévue de Blindspot ?
Vinnie a écrit :http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=18988.html
@ Cire, en effet, j'adore les saisons 4 et 5 de person of interest
Par contre, n'ayant pas vu ce qu'il y avait avant, je me demande comment est née l'entité "Samaritain" , comment elle a été créée et qui est derrière tout ca ???
Un petit spoiler ou mp expliquant tout ca me ferait bien plaisir... pas envie de regarder les 3 premières saisons auxquelles je n'accrochais pas trop.
cire69 a écrit :Vinnie a écrit :http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=18988.html
@ Cire, en effet, j'adore les saisons 4 et 5 de person of interest
Par contre, n'ayant pas vu ce qu'il y avait avant, je me demande comment est née l'entité "Samaritain" , comment elle a été créée et qui est derrière tout ca ???
Un petit spoiler ou mp expliquant tout ca me ferait bien plaisir... pas envie de regarder les 3 premières saisons auxquelles je n'accrochais pas trop.
C'est dommage car la saison 3 est exceptionnelle, tu rates du lourd. Quant à l'arrivée de Samaritain ben... heu.... J'sais plus trop [emoji16]
solar10 a écrit :cire69 a écrit :Vinnie a écrit :http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=18988.html
@ Cire, en effet, j'adore les saisons 4 et 5 de person of interest
Par contre, n'ayant pas vu ce qu'il y avait avant, je me demande comment est née l'entité "Samaritain" , comment elle a été créée et qui est derrière tout ca ???
Un petit spoiler ou mp expliquant tout ca me ferait bien plaisir... pas envie de regarder les 3 premières saisons auxquelles je n'accrochais pas trop.
C'est dommage car la saison 3 est exceptionnelle, tu rates du lourd. Quant à l'arrivée de Samaritain ben... heu.... J'sais plus trop [emoji16]
Des disques durs perdus dans la nature...
raphaeldugrandnord a écrit :Qui a accroché a The Expanse de Netflix?
moi pas...
marco2111 a écrit :cruzario a écrit :Je ne suis vraiment pas d'accord avec toi, que ce soit pour TWD ou Westworld.
L'épisode était justement moins violent que d'autres, il y a eu 2 scènes horribles mais c'est plutôt la tension tout au long de l'épisode qui était terrible.
100% d'accord avec toi ...
Quelle tension dans cet épisode![]()
Et je ne parle pas de la mort mais de ce qu'il se passe après (je ne vais pas entrer dans les détails pour ceux qui ne l'on pas vu...).
twd1
Inconsciemment, ce premier épisode de la saison 7 de The Walking Dead était celui que l’on attendait depuis bien longtemps. Inconsciemment, on savait qu’il viendrait un jour. Tôt ou tard. Mais qu’il viendrait. Cet épisode où le curseur serait poussé juste un peu trop loin, ce moment où le scénario deviendrait si complaisant avec lui-même qu’il ne pourrait que se dissimuler derrière la violence. Ce moment où la série jouerait trop avec son public comme elle le fait depuis le début, ne lui offrant qu’en des occasions de plus en plus rares une raison de s’accrocher et de continuer. Ce moment est venu. Ce premier épisode devait marquer une rupture dans la série. C’est le cas. Ciao.
Rétrospectivement, le final de la saison 6 et l’annonce de l’exécution imminente d’un membre du groupe Rick Grimes par le psychopathe Negan, armé de sa batte de baseball baptisée Lucille, n’a servi qu’à une chose: faire entrer en scène ce personnage si important et si riche dans les comic books. Jeffrey Dean Morgan va faire un formidable méchant.
Si ce piètre épisode tient par quelqu’un, c’est par lui. Par sa performance mêlant un sadisme viscéral, un cynisme d’apocalypse et une fausse décontraction flirtant avec un charme malsain. Il tient aussi un peu par le jeu d’Andrew Lincoln qui se voue au personnage de Rick dont le démembrement émotionnel est soudain exposé dans la clarté brumeuse d’un petit matin blême.
Pour le reste, ces 46 minutes sont une succession de faiblesses scénaristiques aussi criantes les unes que les autres. Ce n’est pas tant l’ultra-violence livrée ainsi en pâture qui est la plus gênante. Ce sont les raisons de son utilisation qui n’a rien à voir avec les nécessités d’un récit. Le créateur de la série Robert Kirkman (qui fait preuve de bien plus d’imagination dans ses ouvrages) et le showrunner Scott M. Gimple ont composé un épisode bancal en essayant de placer la narration du point de vue Rick Grimes, spectateur impuissant d’une exécution, à nouveau contraint de gérer une situation qui lui échappe.
L’attente suscitée, entretenue, montée en épingle depuis le printemps n’est pas récompensée. Bien au contraire. Elle est massacrée. Il s’agissait de deviner qui allait être exécuté, pas comment allait se produire l’exécution. Il était assez facile d’imaginer la manière dont les choses pouvaient se dérouler, il n’y avait guère d’ambiguïté sur ce point. Mais la gestion du suspense dans cette introduction est maladroite, elle se perd dans un remplissage (20 minutes de circonlocutions pesantes) qui est une autre des marques de la série.
Même le choix que fait Negan s’avère, après coup, presque logique et manque d’originalité. Bien des éléments avaient été semés au long de la saison 6 pour parvenir à cette conclusion. Le contenu de l’épisode était présenté comme un moment de vérité pour le spectateur. En fait, il apparaît comme un moment de vérité pour ses créateurs : celui où ils rencontrent leurs limites et où ils se regardent écrire au lieu d’écrire.
Que des personnages meurent à plus ou moins longue échéance fait partie de l’ADN de la série. Cette dernière joue sur la disparition brutale de l’un ou de l’autre pour créer de l’attachement, entretenir un deuil si nécessaire à la fidélité. The Walking Dead porte la violence en elle, mais celle-ci est employée comme un moyen de faire avancer le récit. Elle oblige les personnages à s’adapter, à se remettre en cause, à interroger le public en lui suggérant qu’elle n’est jamais justifiable.
Là, elle se repaît de soi, elle devient son unique sujet, sans aucune extension et sans aucune condamnation. Elle est tout simplement elle-même et elle s’observe au travers des yeux de Rick Grimes. Le point d’équilibre de l’épisode tient au seul regard, à la manière dont le héros principal considère la destruction et dont il l’absorbe. Cela est bien trop peu, cela est bien trop facile. La violence exige un discours, pas un constat.
« Welcome to a brand new beginning, you sorry shits« , lance Negan en guise de conclusion aux survivants. Mais peut-être est-ce à nous qu’il s’adresse. Je ne sais pas. J’ai presque envie de le croire car cela donnerait à cet épisode calamiteux l’ironie distante qui lui fait tellement défaut.
Vinnie a écrit :Combien de saisons de HOMELAND ont été diffusées sur RTL ? Seulement 2 ????? La suite est nulle ou quoi ?
C'est la série australienne avec le journaliste et son frère autiste ?tamika a écrit :Nouvelle saison de 'The code', vu un episode seulement pour l'instant, ca a l'air pas mal du tout.
solar10 a écrit :C'est la série australienne avec le journaliste et son frère autiste ?tamika a écrit :Nouvelle saison de 'The code', vu un episode seulement pour l'instant, ca a l'air pas mal du tout.
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