psyko a écrit :Bingo a écrit :Mais c'était pour Facebook Messenger non, pas pour Facebook ?
Non pour Facebook je n'avais pas le messenger installé
Ah OK. C'est bizarre qu'il aie la mention "new" à côté de la permission alors.
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psyko a écrit :Bingo a écrit :Mais c'était pour Facebook Messenger non, pas pour Facebook ?
Non pour Facebook je n'avais pas le messenger installé
psyko a écrit :http://techland.time.com/2014/01/27/how-much-time-have-you-wasted-on-facebook/ temps passé sur facebook
Perso 25 jours 15h depuis fev 2008 ça va ça fait 16 min/jour suis en dessous de la moyenne
William_Kramps a écrit :Dindon a écrit :Et je vous prédis le contraire.
Il y aura une annonce de changement chez facebook dans les mois qui suivent, qui provoquera un regain d'intérêt pour l'action.
non seulement ça va remonter, mais plus haut que le prix de départ...
Ok, tu m'as convaincu. J'achètes en masse.
Spécialiste en sécurité informatique, Jonathan Zdziarski a analysé durant plusieurs heures le fonctionnement de Facebook Messenger sur son smartphone et en est arrivé à une conclusion alarmante. Non seulement Facebook Messenger se conduit véritablement comme un spyware, en espionnant vos moindres faits et gestes, mais en plus, l’application de messagerie de Facebook s’octroierait des droits qui dépassent son champ d’application.
Ce n’est un secret pour personne. Facebook tente par tous les moyens de vous faire installer sa messagerie mobile sur votre smartphone. Forcer les utilisateurs à installer son Messenger sur leur smartphone en les empêchant de répondre à leurs messages privés dans son appli n’était déjà pas très fair-play. Plusieurs développeurs avaient d’ailleurs déjà tiré la sonnette d’alarme, en précisant que le Messenger de Facebook demandait beaucoup trop d’autorisations à l’utilisateur, qui ne prenait pas le temps de les lire et acceptait de donner l’accès à tout son répertoire de contacts à Facebook.
Le spécialiste de la sécurité informatique Jonathan Zdziarski tire aujourd’hui les premières conclusions de l’utilisation de Facebook Messenger sur son smartphone. “Messenger semble avoir plus de code de type spyware que je n’en ai vu dans d’autres produits spécialisés dans la surveillance.” Le constat est, selon ses propres propos, alarmant. Car Facebook s’octroie non seulement le droit d’accéder à tout votre répertoire de contacts, mais vous observe également dans vos moindres faits et gestes. Le réseau social serait capable de connaître l’endroit exact où vous vous trouvez à chaque moment, en utilisant le signal GPS de votre smartphone, de savoir le temps que vous passez sur votre téléphone chaque jour, et même l’orientation de votre terminal (portrait ou paysage). Selon Zdziarksi, “il y a beaucoup de code qui suggère que Facebook analyse pratiquement tout ce à quoi il peut accéder sur votre appareil.”
Si l’on savait depuis longtemps que Facebook, au même titre que de nombreuses autres entreprises, analysent le comportement de ses utilisateurs par le biais des applications installées sur leur smartphone, on ignorait en revanche que le réseau social pouvait aller si loin et accéder légalement à l’intégralité du contenu du smartphone de l’un de ses membres.
Le mois dernier, le réseau social avait déjà été plongé en pleine tourmente suite à la publication d’un rapport peu élogieux sur ses pratiques dans le domaine du mobile. A l’époque, plusieurs spécialistes accusaient le réseau social de récupérer des données jugées comme trop personnelles et de pouvoir utiliser l’APN du smartphone, le microphone et les SMS pour espionner ses membres.
Pour autant, tout cela ne signifie bien sûr pas que Facebook passe son temps à vous espionner. Les chances que les données recueillies le soient de manière anonyme, pour être compilées et tirer des conclusions générales, sont plutôt élevées, et il est fort peu probable que Facebook active votre microphone pour espionner l’une de vos conversations, comme pourrait le faire la NSA par exemple. Néanmoins, le risque est là, et surtout, Facebook en a désormais les capacités techniques. “Au final, le choix vous revient de faire confiance à Facebook” conclut le spécialiste de la sécurité informatique, qui estime qu’une étude plus approfondie du fonctionnement de Facebook Messenger pourrait permettre d’en apprendre plus sur son fonctionnement.
solar10 a écrit :J'utilise la version browser mobile... qu'ils amputent des fonctionnalités petit à petit.
Je scrute pour un réseau alternatif moins intrusif et y inviterai mes contacts.
La moitié de la population mondiale jouit d’un accès à internet et près de la moitié de ces connectés dispose d’une page Facebook.
En plus d’annoncer des bénéfices en hausse, les derniers résultats de Facebook révèlent que le réseau attire toujours de nouveaux utilisateurs. Les inscriptions ont augmenté de 13% d’une année sur l’autre, permettant au site d’atteindre le chiffre remarquable de 1,39 milliard d’utilisateurs mensuels.
Selon les calculs des Nation Unies, la population mondiale s’élève aujourd’hui à 7 milliards d’habitants. Cela signifie que 20% des habitants de la planète sont actifs sur Facebook.
En revanche, tout le monde ne dispose pas d’un accès à internet. Les chiffres les plus récents montrent qu’environ 3 milliards de personnes en jouissent. Ce qui veut dire qu’en réalité, si une personne possède un accès internet, les chances pour qu’elle dispose également d’un compte Facebook sont de 50/50.
En plus de souligner que le réseau social suscite presque autant d’engouement que le réseau internet lui-même, les derniers résultats de Facebook permettent d’observer que le comportement du consommateur change en raison de la prolifération des appareils mobiles.
Parmi les 1,39 utilisateur mensuel actif, 1,19 milliard consultent le réseau via une application. 745 millions sur les 890 millions d’utilisateurs quotidiens sont des utilisateurs mobiles.
L’utilisation du réseau sur un ordinateur de bureau semble une pratique dépassée : Facebook recense actuellement 526 millions d’utilisateurs mensuels actifs ne se connectant que via le mobile (ils ne se connectent jamais sur un ordinateur). Ce chiffre était de 456 millions au trimestre précédent. Sur les 15 derniers mois (soit 5 trimestres financiers), Facebook a vu le nombre ses utilisateurs “mobile-only” augmenter au rythme de 50 millions chaque trimestre. Au quatrième trimestre de 2013, on ne dénombrait que 296 millions d’utilisateurs exclusivement mobiles.
Tskynet a écrit :Loin de moi cette ânerie pour décérébrés !
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