cypl a écrit :Dindon a écrit :"A cause" du même syndicat, j'ai pu exercer une pression sur un autre employeur qui voulait m'obliger à travailler en shift 24/7, mon contrat le stipulait bien, mais dans les faits, j'étais en horaire bureau depuis 3 ans. "Grâce à ce syndicat" qui m'a apporté l'aide juridique dont j'avais besoin, j'ai pu savoir que mon employeur avait le droit de le faire. J'ai donc changé de boulot
En résumé, malgré que ce soit écrit noir sur blanc, le syndicat a relu ton contrat, a confirmé que tu avais tord et tu as changé de boulot.... J'aurais pu te le dire moi-même
J'ai simplifié pour faire court.
Ce n'était franchement pas si simple que ça. Je n'étais pas le seul concerné, ce qui est sur le contrat est une chose, ce qui est légal en est une autre.
De plus, il y avait une notion supplémentaire, qui fonctionne dans certains cas et pas d'autres (sais plus lesquels), Celle-ci dit en gros que si les conditions de ton travail ont changés de manière flagrante par rapport à ton contrat, au bout d'un moment, on peut accepter que les clauses concernées du contrat ont moins de valeur que ce qui est la réalité.
J'avais un contrat standard de support 1ere ligne chez un des 3 opérateurs, qui prévoyait des shifts. Shifts que j'ai fait les 2 premières années, mais plus les suivantes.
Après 3 ou 4 ans d'horaire de bureau, on pouvait considérer cela comme une acquis (ou Zakis, comme vous voulez), même si mon contrat disait le contraire.
Dans tous les cas, je donne des exemples, juste pour contrer un autre exemple, pour justement montrer que parler au sens large en utilisant des petits exemples concrets ne sert à rien, puisqu'on leur fait dire ce qu'on veut.
Et tout ce que je reçois comme réponse, ce sont des moqueries, avec tentative de me faire passer pour un con.
sinon, faites un sondage, Dindon fait-il chier? On fixe le nombre de réponse nécessaire à une condamnation à l'exil et on en parle plus